Une intention bien naïve
Il y a quelques semaines, j’ai choisi de lire un poème dans mes Savasanas. En fait ça m’est venu par accident pendant que je préparais la méditation que j’allais offrir le mardi sur l’autocompassion et j’ai décidé d’en faire la lecture dans tous mes cours par la suite. Naïf que je suis. C’était probablement maladroit de ma part… Ça prenait des explications.
Je trouve que ce poème est une réponse à la polarisation, à la séparation et au campement serré autour de nos opinions qui définissent notre époque (j’ai mis mon vocabulaire en veston-cravate !). L’élection de D. Trump en novembre, accompagnée par le racisme et la désinformation qui se réchauffent plus vite que le changement climatique… Si on le répète assez souvent, ça devient vrai. La guerre en Ukraine qui s’éternise (plus de 1 000 jours maintenant), celle dans la bande Gaza qui fracasse des records de violence et toutes les guerres qui passent inaperçues parce qu’ils ont des lacunes marketings. On assiste à l’émergence des mouvements de droite, comme l’alpha-bêtisation de nos jeunes garçons d’un côté et de l’autre, la réponse hautaine des élites éduquées qui ne comprennent que par la lorgnette de leurs privilèges. Des clans apparaissent, des divisions s’installent partout et on se parle (on se crie) par opinions empruntées aux membres influents de nos tribus respectives… Des réponses de plus en plus violentes… Tout ça pour dire que l’autre est un maudit épais.
Bon bin là, qu’est-ce qu’on fait ?
Ma réponse était un poème…
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S'il vous plaît, appelez-moi par mes vrais noms
L’intention derrière : la compassion courageuse
Le désespoir n’est pas une option… L’espoir l’est
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Atlas of the heart
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Philippe